Fabrice Aboulker Fils De Patrick Juvet
Fabrice Aboulker Fils De Patrick Juvet – Le zèle juvénile de Fabrice Aboulker – « Elle a les yeux revolver » – s’entend partout, de Patrick Juvet à France Gall. Pourtant, le jeune Fabrice, génie de la musique, avait concocté une petite scène dans sa chambre d’enfant avant de devenir un compositeur prolifique pour les grands noms de la chanson française. Il raconte à nos.
Fabrice Aboulker est un prodige musical et le légendaire compositeur des chansons de Marc Lavoine. A 10 ans, lorsque sa mère rencontre Patrick Juvet, il commence à jouer du piano et se retrouve replongé dans l’univers clinquant du showbiz parisien des années 70. Il retrace son parcours et réfléchit aux musiques qui ont marqué sa jeunesse.
Quel était l’environnement où vous avez passé votre enfance ?
Je suis née dans une famille saltimbanque à Neuilly-sur-Seine. Ma mère a fait carrière dans les relations publiques (elle était attachée de presse) puis s’est lancée dans la fabrication de lunettes. Écrivain, mon père l’était. À l’occasion, il travaille pour la télévision et anime une émission hebdomadaire intitulée Le pont des arts sur France Culture. De deux ans mon aîné, j’ai un frère brillant dont le poste le plus récent était celui d’ambassadeur européen en Chine.
Peu de temps après ma naissance, mes parents ont divorcé et ma mère a commencé à fréquenter une programmatrice musicale d’Europe 1. Pour cette raison, je considère que mon éducation entre les mains de deux femmes a été la partie la plus favorable de mon enfance. A l’âge de 10 ans, ma mère tombe follement amoureuse de Patrick Juvet, avec qui elle a eu une relation passionnée pendant cinq ans. Mais beaucoup de choses ont changé lorsqu’il est entré dans nos vies. Nous étions en 1970 et tout était légal.
À l’époque, personne ne s’inquiétait vraiment de moi. J’étais plutôt bon élève à l’école primaire, puis j’ai commencé à faire n’importe quoi au collège. Enfin, je quitte une maison de retraite suisse pour une institution américaine qui ne facture pas de frais. Quand j’avais quinze ans, ma mère rentrait du travail et a trouvé un travail de maquettiste chez Salut les Copains car elle n’avait pas les moyens de payer mon école. Les études n’ont jamais été reprises par moi.
Est-ce que tes parents écoutaient de la musique ?
Quand j’étais petite, ma mère n’écoutait pas beaucoup de musique, peut-être quelques disques de chanteurs yéyés qui voyageaient à travers l’Europe avec leur compagnon de voyage. Une fois Patrick arrivé à la maison, la musique a commencé à jouer un rôle important. Des artistes dont Elton John, Michel Berger, France Gall, Véronique Sanson et Supertramp jouaient à l’époque. Mon père adorait jouer du jazz au piano.
Parce qu’il ne m’a jamais élevé et qu’il est mort quand j’avais vingt et un ans, je ne sais pas s’il aimait écouter de la musique. À mon avis, il était plutôt un passionné de littérature.Quelle était la chanson que vous préfériez lorsque vous étiez jeune ? Petite fille, vers sept ans, j’adorais France Gall. C’était l’époque des yéyés. Toutes ses chansons sont toujours dans mon cœur.
Si je devais n’en choisir qu’un, ce serait Sacré Charlemagne puisqu’il est le plus connu. Je pense toujours que sa voix est belle. J’étais légèrement enfatisée. Ce qui m’a particulièrement ému, c’est Adolescent, issu de l’album n°7 de Julien Clerc. Je pense encore aujourd’hui que c’est son meilleur album. Après une tromperie émotionnelle, j’ai écouté le disque vinyle de Laurent Voulzy “Le Coeur grenadine” alors que j’étais dans le brouillard.
J’ai pensé qu’il était racontant mon nom. J’ai aussi écouté et adoré Your Song d’Elton John et Ziggy Stardust de David Bowie. Dites-moi, quel a été le premier concert que vous avez vu ? Je ne peux plus me souvenir du premier concert que j’ai assisté. Je me souviens encore de celui qui a laissé une marque indélébile dans ma jeunesse. J’étais déployé depuis 14 ans. L’Olympia de Patrick Juvet a été entièrement financée par les investissements de ma mère. Même son appartement avait été vendu. Nous étions tous excités et agités à la fois.
J’ai aussi vu le chanteur Christophe aux JO à la même époque. La scénographie était de premier ordre. Pendant que Christophe jouait et chantait bas dans la tonalité de Do, toute une machinerie aspirait la vie de son piano. C’était sale. Mais ma première expérience musicale s’est déroulée lors d’un concert, et je dois tout à Véronique Sanson et son interprétation de la chanson « Mi-maître, mi-esclave » que je venais de découvrir en live.
Étudiez-vous la musique lorsque vous étiez un bébé?
Patrick a apporté son piano avec lui lorsqu’il a emménagé dans la maison. Très vite, j’ai eu envie de m’inscrire à des cours. Je composais la musique des courts métrages et des pièces de théâtre que mon ami d’enfance Thibaut Chatel et moi écrivions tout en prenant des cours de classique avec un professeur particulier.
Dans ma chambre, j’avais installé une petite scène avec des tubes en carton entourant les zones d’éclairage. Nous avons été captivés. Nous avons utilisé tout notre argent disponible pour acheter des accessoires comme des caméras, des lumières, des décorations et des costumes pour nos productions.
Les Français ont appris il y a quelques jours le décès de la sensation disco Patrick Juvet. L’annonce a été faite par son représentant auprès de l’Agence France Presse. Même si certains détails ont pu être partagés avec la presse, il semble que les circonstances du décès ne soient pas connues. Finalement, son agent a pu préciser qu’une autopsie était nécessaire.
Les victoires de Patrick Juvet auraient été inoubliables.
Dans les colonnes de Public, on retrouve les mots de celui qui a façonné les années 1970, notamment en surfant sur la vague disco. En effet, il avait précédemment affirmé que quelqu’un pourrait le retrouver tous les soirs. Ils pourront jouer avec quelqu’un sans forcément avoir besoin d’une « pénétration » car il n’a pas forcément de préférence, que ce soit des filles ou des garçons. En même temps que tout le monde, je mourrais. La nouvelle de son décès a permis de diffuser dans la presse de nombreux détails sur sa vie.
Dès lors, plusieurs histoires sérieuses se sont tissées autour de la vie de ce chanteur bisexuel. Mais l’artiste vivait seul en Espagne car sa vie était rythmée par des hauts et des bas. Il avait auparavant travaillé avec Nicoletta et Fabrice Aboulker, comme l’ont appris ses admirateurs auprès du Parisien.
Ainsi, le fils de Florence Aboulker avait révélé que Patrick Juvet avait vécu une grande histoire d’amour avec sa maman dans les années 1970. Après tout, il aurait pu se confier à Gala à propos de ce paradis. Même si l’histoire était terminée, il les avait captivés par son charisme, son intelligence et son élégance.
En compagnie d’hommes et de femmes, Patrick Juvet a trouvé son bonheur.
Tout au long de sa carrière et de sa vie, Mélanie Griffith a pu compter sur de nombreuses personnes, et elle n’est que l’une d’entre elles. Selon les dernières informations, Patrick Juvet se trouvait en Espagne lorsque son corps sans vie a été retrouvé. Non content de tenter de vivre dans l’anonymat, il prenait aussi une jolie retraite au soleil. En 2010, Patrick Juvet racontait sa découverte dans les colonnes de France Dimanche, en s’intéressant notamment aux services de réunion. Il utilisait alors un pseudonyme, et cela avait été un peu gênant au début car il ne voulait pas publier de photo de lui.
A 60 ans, il avait enfin échappé à toutes les rumeurs qui avaient pu circuler dans les journaux de l’époque. Ses chances de faire plusieurs belles connaissances étaient ainsi augmentées, mais hélas, elles ne se sont jamais concrétisées. Le chanteur légendaire des années 1970 est décédé le 1er avril 2021, à l’âge de 70 ans. À l’heure actuelle, les circonstances de son décès sont inconnues. Il faudra absolument attendre les résultats de l’autopsie pour en savoir plus. La malheureuse nouvelle a été confirmée par son représentant.
Patrick Juvet, le grand blond aux idées noires : une disparité
Jeudi après-midi, la police de Barcelone a découvert un corps dans l’appartement de l’artiste. La star du disco était là. Le chanteur suisse de 70 ans a eu une vie pleine de hauts et de bas, de formidables réussites et de profondes dépressions. C’était l’intention de Patrick de remixer un album. Il avait contacté des gens aux États-Unis. Nous nous attendions à ce que le COVID soit terminé. Dans cette Amérique qu’il aimait et chantait, Patrick Juvet ne reviendra jamais.
Mardi après-midi, la star du disco connue pour les singles “Où sont les femmes” et “I Love America” de 1975 et 1978 est décédée dans son appartement de Catalogne, à Barcelone. Il avait 70 ans et vivait seul. Même s’ils se téléphonaient tous les jours, c’est son manager Yann Idoux qui a demandé à des amis de venir car il était inquiet car il n’avait plus de nouvelles depuis deux jours.
“Il y aura une autopsie mais sa mort semble naturelle”, explique le gestionnaire qui l’a supervisé avec plus de vingt ans. Patrick, malgré son alcoolisme, était une personne très sensible, avec des hauts et des bas. “La mort de son frère deux ans auparavant l’avait beaucoup touché.” “C’était tellement grave”, a déclaré Nicoletta, l’une de ses meilleures amies.
Sa mère, avec qui il était fusionnel, est décédée il y a trois ou quatre ans et il a commencé à se retirer. Des appels se faisaient souvent dessus. J’essayais de l’inspirer à jouer du piano (c’était un grand pianiste) et à faire une tournée de théâtres même s’il ne m’écoutait plus. Il a perdu tout courage. Être seul est difficile après avoir connu la grande lumière.
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