Pauline Sanzey Mari

Pauline Sanzey Mari – Le lieu de naissance de Dominic Laresche est la France. Malgré plus de deux décennies passées en Afrique, elle garde toujours un profond amour pour le continent dont elle est tombée amoureuse en travaillant comme reporter pour le magazine Elle a présenté et animé quotidiennement en direct le prestigieux duel entre les États-Unis et l’Europe sur les différentes chaînes du réseau (Golf +, Canal + Sport et Canal +) après avoir remporté le concours « Le Grand Match Sport », ouvert aux étudiants. des meilleures écoles de journalisme.

Après avoir effectué un stage au desk Infosport Plus la même année, elle a évolué pour devenir journaliste à la fois pour Canal Plus et Info Sport Plus.Elle a travaillé comme correspondante à l’étranger pendant plusieurs années avant de devenir rédactrice en chef et animatrice d’Objectif Monde, le premier magazine d’investigation francophone.

L’objectif de ce magazine est de mener une recherche sur un enjeu majeur qui touche notre société en juxtaposant les reportages de nos réseaux partenaires (RTBF, RTS, France TV et Radio-Canada) et de présenter le point de vue des reporters qui ont réalisé ces reportages ainsi que ainsi que celles des témoins principaux (personnalités politiques, etc.).

Après avoir vécu en Afrique pendant 20 ans, c’est tout naturellement que j’ai un lien profond avec le continent. Par mon travail de journaliste sportif pour le magazine SPORTISSIMO de RFI en 1995, SPORT AFRICA de TV5MONDE de 1997 à 2002, et enfin reporter d’information pour TV5MONDE, j’ai découvert le continent à l’âge de 25 ans.

J’ai parcouru toute l’Afrique, d’est en ouest et du nord au sud, couvrant tout, des événements sportifs aux voyages officiels aux sommets internationaux (Francophonie, UA, Afrique-France). La communauté francophone est ancrée dans l’ADN de TV5MONDE, et c’est aussi un de mes intérêts personnels. Un sujet véritablement futuriste, surtout si l’on considère l’Afrique.

Pauline Sanzey, journaliste spécialisée dans les sports mécaniques pour Canal+, et moi nous sommes rencontrés quelques heures avant la première course de la saison de Formule 1. Elle nous emmène dans ses voyages, décrit sa vie sur le terrain et nous livre ses pronostics pour la saison 2023.

Fin février à Barcelone, Pauline Sanzey a découvert un tout autre monde. Le Lorrain de 32 ans a écouté de l’intérieur les retransmissions radio Canal+ des essais hivernaux de Formule 1. Elle sera le nouveau visage du dispositif F1 proposé par le réseau secret pour la saison 2022, qui débute ce week-end à Bahreïn.

Karim Bennani n’a pas traîné pour voir ce qui allait se passer. L’animateur de Jour de foot de Canal+, qui est aussi chroniqueur sportif, ne manque jamais une occasion de faire un clin d’œil et un clin d’œil à son public avant le premier samedi du mois, lors de la diffusion du film pornographique du mois.

Karim Bennani a été battu par Pauline Sanzey le 9 avril lors du 54H de sport diffusé en continu sur l’antenne de Canal + tout le week-end. Le journaliste a balancé une blague rigolote et salace avec un large sourire avant de diffuser le Masters of Golf d’Augusta : « On change un peu de programme. Le premier samedi du mois, les films pour adultes sont diffusés. Ici au menu, Augusta’s 18 trous, comment ça va ?

Karim Bennani et le consultant du Jour de foot, Alain Roche, n’ont pas pu retenir leurs rires lors d’une émission en direct. Pauline Sanzey s’est amusée de son échange sur Twitter avec Karim Bennani, en écrivant “Je crois que j’ai choqué KarimBennani”, mais l’un des commentateurs sportifs de Canal + a répondu : “Moi ??? Jamais !!! Ahah.”Après le premier samedi soir du mois, les téléspectateurs de Canal + se sont retrouvés sans leur programmation habituelle pour la première fois depuis 1985. Ce vendredi 13 avril, la diffusion régulière du Journal du Hardsuivi du film du mois reviendra sur la chaîne cryptée. .

La journaliste Pauline Sanzey a animé pendant plusieurs saisons des émissions sportives sur le réseau Canal+, notamment des reportages sur le golf, le Daily Sport et des combats de boxe.Comment es-tu arrivée dans le journalisme, Pauline Sanzey ?J’avais l’intention de combiner les deux en une seule ligne de travail. J’envisage de poursuivre un diplôme post-baccalauréat en littérature au niveau licence (une “prépa”).

Pour m’inscrire dans une formation reconnue d’utilité publique en journalisme, il me fallait un bac +3. Pour cette raison, j’ai décidé de m’inscrire à un cours universitaire pour améliorer mes connaissances générales afin de mieux tester.

Après avoir échoué aux concours d’entrée, je me suis inscrit en master de science politique à la Sorbonne. J’ai réussi le concours de l’Institut de journalisme de Paris (IPJ) et je travaille désormais pour Canal+. Vous avez bien fait d’inclure la chaîne dans votre routine de ramassage scolaire. Gagner le concours “Le Grand Match Sport” et un an de CDD sur Canal+… Faut-il un peu de chance pour réussir dans ce métier ?

C’est vrai que j’ai eu un parcours assez linéaire pour un journaliste. Je n’avais rien à perdre en m’engageant dans cette compétition, d’autant plus que j’ai été la première femme à remporter « Le grand match sport ».Nathalie Iannetta était déjà sur la route quand je suis arrivé. Ainsi, je n’ai pas pu rencontrer la version plus jeune de la femme qui m’a servi de modèle.

Depuis que vous avez rejoint CANAL+, vous faites partie intégrante de la rédaction d’InfoSport+. Comment vous en souvenez-vous ? Je me sentais comme un imposteur car je manquais d’expérience et j’avais peur d’être hors de mon élément. Je n’avais pas beaucoup confiance en moi. C’était un peu idiot au début, mais les éditeurs étaient sages au-delà de leurs années.

As tu des idées?

Pendant mon séjour en France, j’ai effectué un stage dans un journal régional et France Info. J’avais quelques idées avant de commencer l’école, mais elles ont toutes changé maintenant. Mon imagination m’a fait partir au travail en tant que journaliste sportif tous les matins pour interviewer des athlètes, mais en réalité, il n’y a qu’une petite poignée de journalistes sportifs qui couvrent les matchs depuis la ligne de touche.

Maintenant que vous êtes présentateur, y a-t-il un domaine particulier qui a piqué votre intérêt ?

J’ai d’abord travaillé comme rédacteur en chef, créant du contenu pour des émissions comme “Match of the Day” et “Team of the Week” sur le football anglais. Je me rends fréquemment sur le terrain pour m’entraîner en double. Après avoir travaillé au réseau pendant deux ans, j’ai été promue au poste d’hôtesse. Avez-vous reconnu une de vos propres expériences dans le documentaire de Marie Portolano et Guillaume Priou, “Je ne suis pas une salope, je suis un journaliste ?”

Même s’il y a des choses que je n’ai pas vécues de première main, j’ai néanmoins été victime du syndrome de l’imposteur. Il est encourageant de voir que les journalistes sportifs ont trouvé la confiance nécessaire pour s’exprimer, car cela profitera à la prochaine génération.

Comment qualifieriez-vous votre travail de journaliste ?

Certains soirs, je diffuse en direct des matchs de boxe pour les téléspectateurs à la maison. J’apprécie la variété qui accompagne chaque nouvelle journée. Karim Bennani n’a pas traîné pour voir ce qui allait se passer. L’animateur de Jour de foot de Canal+, qui est aussi chroniqueur sportif, ne manque jamais une occasion de faire un clin d’œil et un clin d’œil à son public avant de diffuser le long métrage pornographique du mois.

Karim Bennani a été battu par Pauline Sanzey le 9 avril lors du 54H de sport diffusé en continu sur l’antenne de Canal + tout le week-end. Le journaliste a jonglé entre blague humoristique et salace avant de diffuser le tournoi de golf Masters d’Augusta, tout en arborant un large sourire : « On change un peu de programme. Le premier samedi du mois, les films pour adultes sont projetés. Voici les 18 trous d’Augusta… et vous ?

Karim Bennani et le consultant du Jour de foot, Alain Roche, n’ont pas pu retenir leurs rires lors d’une émission en direct. Sur Twitter, Pauline Sanzey a plaisanté, « Je crois que j’ai choqué Karim Bennani », et une présentatrice sportive de Canal + s’est clairement amusée de la remarque, en écrivant, « Moî Jamais !!! Ahah.

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